Un personnage fuit et se métamorphose. Les éléments naturels se déchaînent : chute de pierre, vol de lave, éclatement de poutres qui volent dans l’espace. Des géants surveillent et semblent se réjouir d’une scène de meurtre collectif.
Étant donné que le film relève du cinéma expérimental, il n'est pas à proprement parler narratif, mais une ligne directrice régit son déroulement : des silhouettes masquées gravissent un escalier, en faisant diverses rencontres à chaque palier. Il s'agit d'une quête spirituelle qui se...
Pour la première fois le réalisateur pose sa caméra , son «subjectif», en extérieur. Il ne s'agit plus de percer l'obscurité pour y faire naître, mettre en scènes des figures anthropomorphiques aux rituels plus ou moins mystérieux, mais de partir de la lumière du monde, en l'occurrence...
Chorégraphie d’un voyage imaginaire. Des images documentaires de mouvements maritimes (mouettes, bateaux, pêcheurs) sont changées radicalement en une vague de motifs, chorégraphie de lumière et de son.
Un peintre dans son atelier : crayons, pinceaux, tubes, table, chevalet et personnages se mettent d'eux-mêmes en mouvement dans une explosion de couleurs et de flamboiements.
Bains de mer et chevauchées oniriques. Les couleurs se jettent à l’eau, l’horizon flamboie, les pulsations déferlent en vagues toujours recommencées… Une étrange expédition dans les profondeurs visuelles et sonores.
Ce film présente les techniques utilisées par Henri Dimier pour dessiner et peindre. Il est réalisé à partir d'oeuvres en cours d'exécution, dans leurs différentes phases, et par la présentation de procédés expliqués ou très peu connus.