Deux comédiens qui jouent dans « l'Inferno », pièce de Strindberg, les rôles de Dieu et de Lucifer, se retrouvent dans la vie réelle. Henrique, qui joue le rôle de Dieu, montre une obsession pour le déhanchement de John Wayne qu'il considère comme divin.
Où Schéhérazade raconte comment la désolation a envahi les hommes : « Ô Roi bienheureux, on raconte qu’une juge affligée pleurera au lieu de dire sa sentence quand viendra la nuit des trois clairs de lunes. Un assassin en fuite errera plus de quarante jours durant dans les terres...
Jusqu’à trente ans, tu as la gueule que Dieu t’a donnée. Après, tu as la gueule que tu mérites… Francisco, comporte-toi bien ! Je sais que c’est ton anniversaire, que tu as trente ans maintenant, que c’est le carnaval et que tu t’es déguisé en cow-boy pour la fête de l’école,...
Éloge de la folie à travers les tribulation de M. Jean de Dieu, homme paisible et glacier de son état qui collectionne à ses moments perdus des poils pubiens féminins qu'il classe dans un précieux album qu'il appelle « le Livre des pensées ».