Comme ce titre l'indique la règle du jeu est aléatoire. Le protagoniste nous convie à un jeu rythmé aux palpitations des parasites radio et des images brisées.
«Dans deux films de 1983, Signaux lumineux pour un ballet nuptial et DIAPH LIMITE 1,2 POSTURE D'EXIL, de lents glissements du diaphragme, de la sous-exposition à la surexposition, noient dans la blancheur ou dans l'obscurité des fragments de réel à peine entrevus -- d'un réél minimal réduit...
J'ai fait ce film pour avoir un témoignage de tous ces immigrés juifs d'Europe de l'Est qui ont fondé le marché aux Puces (le Malik) pendant l'entre-deux-guerres, et rendre un hommage à ma grand-mère, celle que je n'ai pas filmée.
Un travesti sexagénaire dans sa chambre, confronté à ses fantasmes et à sa solitude. Le suicide en 1977 de l'artiste Pierre Molinier a provoqué ce film LA TASSE. C'était ma façon de lui rendre hommage avec mes Masques diurnes et nocturnes.
Ailes blanches, Elle rouge, Ailes crient, Elle chante, Ailes volent, Elle gémit, Ailes s'élèvent, Elle se cache, Ailes se meuvent, Elle m'enseigne. Leila, nom de nuit, exhume mes souvenirs d'enfance et m'introduit au merveilleux.