Tourné dans un atelier de la banlieue parisienne où l'on fabrique des mannequins pour les vitrines de magasins, un film poétique et nourri de références surréalistes.
Au coeur des monts des Aurès, un des maquis de la révolution algérienne, les villageois témoignent de la dureté des premiers combats et de leur exil. Alger, entourée par les bidonvilles et constituée de quartiers pauvres et riches, continue à vivre malgré les actes terroristes de l’OAS,...
Durant l'hiver 1967, Jacques Baratier est à Katmandou, alors capitale des hippies du monde entier. Il interroge quelques uns de ces jeunes gens venus de France et d'ailleurs. Pourquoi sont-ils venus là ? Que viennent-ils chercher ?
C'est aux travailleurs de la terre et de l'ombre que choisit de s'intéresser Ruspoli. Il filme le quotidien d'une population vouée à disparaître : le labeur, la pauvreté, le changement des saisons, les loisirs comme les bals ou la chasse, mais surtout l'isolement.
Tournage dans la continuité des Inconnus de la terre à la fin du printemps 1961. Le producteur Anatole Dauman, insatisfait de la qualité des rushs, souhaite diviser le film en deux courts métrages