La guerre laisse des traces ; c’est aussi la vocation de quelques-uns, pour qui la mort reste un métier. Portrait d’un mercenaire français engagé au Liban par les milices phalangistes pour entraîner les milices.
En 1976, Beyrouth connaît le début de son calvaire. Avec les yeux de son enfance, la réalisatrice suit six mois durant, au jour le jour, la dégradation des murs. Tous les matins, entre six et dix heures du matin, elle "descend en ville", à l'heure où les miliciens des deux bords se reposent...