Paris en plein mois d'août. En cherchant un endroit où danser, Janna et Auréa, au début de la vingtaine, s'égarent. Leur errance nocturne dans la ville déserte les amène à se dévoiler l'une à l'autre.
J’suis pas malheureuse filme au plus près le quotidien d’un groupe d’amies d'Argenteuil au sortir de l’adolescence – celles de la réalisatrice. Au fil des mois, toutes vivent sans retenue devant la caméra de Laïs Decaster, se confient, jouent même de sa présence. Une jeunesse crue,...
Deuxième confinement, je filme ma jeune sœur Auréa qui prend son bain. Elle me confie ses doutes sur son avenir et sur la difficulté à avoir des histoires d’amour.