Hardis cavaliers, venez, vous dont l’œil étincelle, Pour entendre une histoire encore On y voit des étoiles qui remplacent Leurs beaux cerfs par des sangliers. Mais l’amour a bien des mystères, Il en est que parfois embrassent Les beaux cerfs dans l’ombre par milliers.
Dans l’air qui luit et dans le vent qui passe, un fleuve plus épais qu’une grasse prairie. Un fleuve trembleur comme une flamme. Le Douro, plein d’ombre et de feux, de silence et de râles, perd son onde au vaste sein des mers. Où sont-ils, les flots que baise la lumière, sombrés dans les...