Metteur en scène vieillissant, Henrik Vogler est toujours animé par le feu de la passion théâtrale. Il ressent une profonde attirance pour ses deux comédiennes. L'une est jeune et passionnée, l'autre est une femme d'âge mûr rongée par l'alcool.
Octobre 1925. Après avoir battu sa compagne, un inventeur, Carl Akerblomg, enfermé dans un asile psychiatrique rencontre un professeur, Osvald Vogler, avec qui il veut faire un film sur Schubert.
Plusieurs années après leur conscription, un groupe de jeunes hommes se retrouvent pour un exercice militaire, mais leur réunion tourne vite à la bringue.
Le Visage de Karin, du nom de la mère du cinéaste est un bout à bout de photographies de famille, sans commentaire, accompagné de la musique de Käbi Laretei – par ailleurs, ancienne épouse d'Ingmar Bergman.