Jozef vient voir son père en traitement dans un sanatorium, où le Dr. Gotard entretient une très mystérieuse atmosphère. Une porte allégorique garde l'entrée du lieu ; dès qu'on la franchit, on pénètre dans un monde de fantaisie issu du subconscient.
Dans un théâtre, un homme regarde le plan de La Rue des crocodiles à travers un kinétoscope. Comme dans un cauchemar, nous voyons le souffle de la vie frapper les personnages de Schulz dans une ville transfigurée qui ressemble à la Drohobycz décadente et poussiéreuse décrite par...