Ce soir, le chien Fifi est contraint de lire son journal sous la table au moment du repas. Mais entre Papa, Maman, Thomas et Zoé, l’ambiance est électrique, chacun n’en fait qu’à sa tête et la lecture est vite compromise.
En nomination aux Oscars pour le Meilleur court métrage d'animation 2017. Inspiré de la nouvelle Vaysha, l'aveugle de Georgi Gospodinove, ce conte métaphorique du cinéaste Theodore Ushev nous rappelle avec sagesse et humour l'importance du moment présent.
De quoi avons-nous besoin pour bâtir une nouvelle civilisation? De bravoure? De courage? De puissance? A moins que nous ne devions simplement détruire celle qui existe déjà.
Gabrielle, qui vient de mourir dans un accident de voiture, adresse une poignante lettre d’amour posthume à Philippe, son époux endeuillé, qui subit le rituel familial des funérailles.
Un jeune loup garou n’en revient toujours pas : depuis qu’il a été agressé par un homme, le simple fait d’apercevoir un arc en ciel, et hop il se transforme en humain dans ce qu’il a de plus détestable. Il adore le pouvoir hypnotisant qu’il a sur les loups garous de son village et en...
Debout face à la fenêtre ouverte, une femme regarde les nuages noirs qui obscurcissent l'horizon. Immobile, elle lutte contre la remontée de ses souvenirs...
Ce film s’apparente à un naufrage, le naufrage d’une ville qui, dressée sous les assauts répétés de la pluie, voit ses habitants sombrer en son sein. Une poésie urbaine composée principalement de plans fixes et frontaux, conçue comme un minuscule opéra.
Petit garçon aux soucis d’adultes, Charles doit prendre soin d’une mère impotente qui le néglige. À l’école, sa différence l’isole des autres. Pour fuir les railleries, il bascule dans un monde parallèle, un refuge aqueux peuplé de grenouilles.
Moi, Barnabé pose un regard lumineux sur la crise existentielle et la quête spirituelle d’un homme désespéré. Par une nuit d’ivresse orageuse, celui-ci reçoit la visite d’un étrange volatile qui le force à reconsidérer sa vie.
Une jeune femme tente de se décrire, se présentant sous un jour idyllique : celui qu’on attend d’elle. La narration visuelle raconte cependant une tout autre histoire, illustrant avec une force poignante la charge anxiogène de l’hyper performance et de la course au bonheur.