Guy Gilles films

Une journée d'un petit café pittoresque de Paris.

Une promenade géographique et sentimentale au jardin des Tuileries, un jour de novembre : "Le temps de rêver une île au cœur de la ville, ouverte sur tout horizon".

Pendant toute une nuit un peintre erre dans Paris, de cabine téléphonique en cabine téléphonique. Il parle avec une femme de leur amour qui finit. Sa route croise celle d'un jeune prostitué.

Jean-Jacques et Kim posent pour un roman-photo sur un paquebot, Le France. Les passagers observent avec intérêt. Mais un cinéaste, François Reichenbach, observe et filme leur réactions. Cette caméra est jugée indiscrète par les passagers.

Une journée à Aurillac par un dimanche de pluie.

François Reichenbach étudie à Loué, petite ville à quelques kilomètres du Mans, le comportement des différents groupes sociaux qui la composent à travers l’activité de son instituteur. Il nous fait partager la vie du jeune écolier de campagne avec lequel nous découvrons les charmes et...

Dorothée, qui travaille dans une agence de voyages, rêve d'un autre monde : le théâtre. Après un évanouissement impromptu, elle se fait remarquer par Hermann, le directeur du « Théâtre des matières » qui lui fait miroiter le rôle de Catherine de Médicis dans « Marie Stuart » de...

«Le vrai musée de Mexico, c'est la ville, c'est la rue». Pour en saisir l'impalpable, Guy Gilles prend le parti de raconter le Mexique en s'interrogeant sur la valeur des images et des sons, loin des clichés touristiques.

Sur un mode poétique, un jeu autour des gestes quotidiens.

Attentif aux objets, aux gestes, aux visages des clients et des serveurs, Guy Gilles réalise une brève évocation poétique des cafés de Paris, des plus célèbres aux plus populaires. Des images et un montage de qualité illustrent un commentaire empreint d'une certaine nostalgie, qui présente...

Une discussion en verlan dans un café entre deux jeunes à propos d’une moto et des filles. Sous-titrage « à l’endroit » !

1970. A l'apogée du mouvement beatnik, de la musique rock, des drogues psychédéliques, et de la libération sexuelle, le cinéaste Jean-Michel Barjol enferme sur un immense plateau de cinéma, pendant trois jours et trois nuits, deux cents personnes: acteurs, musiciens, peintres, acrobates,...

Des images fugitives de Paris en hiver, les réflexions de quelques parisiens sur leur ville. Le film est tout entier dans la phrase de Chris Marker placée en exergue: "Rien n'est plus beau que Paris, sinon le souvenir de Paris".

Un jeune homme monte à Paris, à la recherche de sa mère, qu'il n'a jamais connue.