Chris Marker réalise un portrait de son ami Alexandre Medvedkine qui retrace conjointement l'histoire de l'URSS et celle d'un réalisateur partagé entre idéologie et indépendance.
Au début des années trente, Alexandre Medvedkine arrache le studio à ses fondations de pierre et le fait entrer dans les wagons. Le ciné-train est né : il est désormais possible de montrer la vie au peuple, et par-là de l'aider à construire un monde nouveau.