Sous le soleil des Canaries, entre fêlures et espoirs de nouveaux départs, des exilés en quête de bonheur, sur fond de tourisme de masse et de couleurs saturées. À travers un regard à la Tati, un instantané de paradis artificiel mondialisé.
Le film, tournée en 1938, fait partie d’une série intitulée “Le vrai visage de l’Algérie“. Le film met en avant la proximité d’Alger avec Paris et promeut le voyage en avion. Le commentaire à l’appui des images souligne le dynamisme urbain (“Chaque jour, un nouveau gratte-ciel...