En 1912, le premier cinéaste estonien, Johannes Pääsuke, a été chargé de capturer la vie et les gens dans un coin reculé de la campagne estonienne: Setomaa. Il est revenu avec plus de 1300 photos, mais seulement 7 minutes de film. Qu'est-il arrivé au reste?
Des lettres d'un caméraman-voyageur, Sandor Krasna, lues par une femme. Attiré par les deux « pôles extrêmes de la survie », le Japon et l'Afrique, il s'interroge sur la représentation du monde dont il est en permanence l'artisan, et le rôle de la mémoire qu'il contribue à forger.
Dans les steppes glacées de l'Altaï, une expédition archéologique franco-mongole s'apprête à fouiller la sépulture d'un guerrier scythe oriental, vieille de 2 300 ans. Le rite d'enfouissement profond des morts, conjugué à des conditions climatiques extrêmes, pourrait permettre aux...