Dans ce récit honnête et profondément personnel de la vie avec la dépendance, un jeune homme parle des réalités et des défis de la vie dans la communauté anishinaabe de Kitcisakik et de l’espoir qu’il nourrit encore pour lui-même et son peuple.
Inspirée par le ressourcement des femmes innues à travers la pratique du Chemin rouge et de la tente à sudation (Meteshan), Ashineun nous raconte l'importance de la prière pour la guérison de l'esprit.
Ulivia s’intéresse aux possibilités qu’offre l’internet pour l’inuktitut, une langue complexe dont les dialectes changent de génération en génération et qui est menacée par les langues dominantes. L’internet est-il un allié ou un adversaire ?
Une entrevue avec Al Harrington, gréviste de la faim innu, se transforme en réflexion poétique sur l'importance de respecter les territoires ancestraux de la nation.
Après avoir réussi à se défaire d'une relation conjugale toxique, Lyne-Sue Kistabish décide de rentrer dans son village natal de Pikogan et de s’entraîner pour le prochain triathlon. (Wapikoni)
Autoportrait de la cinéaste anishnabe Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo, qui adresse de façon musicale et métaphorique son héritage métissé, ainsi que l'importance de préserver les langues ancestrales autochtones.
Nous, jeunes mapuches de l’Ayja Rewe Budi, alors que nous parcourons le territoire du nord au sud, rencontrons sur notre chemin des ainé(e)s qui nous transmettent leurs savoirs relatifs à la vie mapuche menacée par le projet de l’autoroute côtière. Alors que nous écoutons, que nous...
Marc-Antoine Ishpatao raconte à ses enfants et aux générations futures l’histoire de la rivière Nutashkuan et des Innus se l'ont ré-appropriée du gouvernement québécois.