Superposant un bijou de la nouvelle vague portugaise et des images actuelles de leur quartier gentrifié, les documentaristes João Pedro Rodrigues et João Rui Guerra da Mata dressent un portrait empreint de poésie de la Lisbonne d’aujourd’hui.
Une fausse dystopie dans laquelle les enfants sont les derniers résistants d’un monde chaotique et plein de haine. Il n’y a plus de communication, car il y a eu une attaque sur les data center et ils se laissent des messages écrits. Les enfants se retrouvent dans un château désaffecté et...